Et refermer les volets un soir encore, rallumer le feu dans l’âtre, faire chauffer la soupe, se raconter les derniers boniments de la journée, rire des chiennes enroulées comme deux vieilles copines sur le tapis, évoquer pour un chocolat pris dans la boîte un vieux souvenir de gosse, en sourire encore…
Tout compte fait c’est la vie simple et ordinaire dont on a le plus besoin à mille lieux des débordements de tous ordres.
Douce soirée à tous, profitez de vos compagnons, de vos enfants, de vos familles. Laissez gronder le monde, de toute façon vous ne pouvez rien faire pour le faire rire et à l’impossible nul n’est tenu.
Annie K. Barbier
No Comments