DE MINUSCULES à MAJUSCULES
Je meurs d’un monde en minuscules Qui m’empoigne et me bouscule, D’une terre malade de ses hommes, De chants de guerre qui m’assomment. Et sur mes murs d’incertitude, Se dessinent comme des habitudes, Quelques fragments de paix déchue Bien entachés d’espoirs déçus. Aux corps meurtris de lassitude, Aux coeurs usés de solitude, Aux tentes blanches des…